Articles internet Janvier-Février-Mars 2010

Merci Baptiste !
---
(Dom, j'aime bcp ton avatar !)

Merci pour ce nouvel article très flatteur à nouveau pour notre Renan

Un petit article sur le blog de St Georges de Didonne qui ressemble plus à une bio ici.

Merci !

Merci Agnès, j'aime beaucoup cette photo aussi.

RENAN LUCE FAIT DES ÉTINCELLES
Le Vingt-Sept de Rouillac avait du mal à contenir les fans du chanteur et les amateurs venus le découvrir. Un spectacle entre ombres et lumières.



Ni sièges, ni gradins. Tous debout à se tordre le cou pour entrevoir Renan Luce, après une heure d'attente meublée en partie par un presque sosie, Benoît Doremus. Les quelque 1.600 spectateurs du Vingt-Sept à Rouillac n'étaient pas dans des conditions idéales mercredi soir pour apprécier le double lauréat des Victoires de la Musique.
Le gendre de Renaud feuillette les pages de l'enfance, avec humour et tendresse. De «Repenti», solo guitare repris en choeur par les amoureux du premier album au «Clan des miros», sa dernière réalisation, il balance entre blues et réalité. Entre hauts et bas. De la complainte du vieux mafioso à son constat d'étourdi qui «ne voit rien venir», il campe un monde nostalgique, hésitant. Loin de l'itinéraire des enfants gâtés. «Éloignez les jerricans!», «Les gens sont fous», Renan Luce s'enflamme avant de retomber dans la proximité avec «Voisins, voisines». Chaud et frais. Le public acclame.

Fragilité à fleur de peau

Plongeon dans les «racines» bretonnes. Retour aux sources. Escapades boutonneuses, cours de préau, frimousse improbable, premiers râteaux auprès des copines. Fragilité à fleur de peau. Les ados en redemandent, les adultes remontent les pendules.

Il y a quelque chose de Tennessee Renan dans cet auteur compositeur qui nous entraîne dans ses élans juvéniles. Ses angoisses de la feuille blanche. Ses quêtes de «La fille de la bande».

Incertain, il lâche les chevaux avant de revenir à sa guitare et à deux contrebasses pour seules compagnes. Une interprétation intimiste pour retrouver «Un regard neuf», «revoir» une «première fleur». «Je ne sais plus voir le quotidien. J'aimerais me réveiller sans mémoire...»

Un article sympa sur le site PASSION-MUSIC, à lire ICI.

SAINT-GEORGES-DE-DIDONNE.
Salle archi-comble pour Renan Luce

Près de 1 500 personnes ont plébiscité jeudi dernier Renan Luce à l'Espace Colette-Besson. Veste noire, jean et baskets, le jeune homme a tout l'air d'un adolescent ; il vient pourtant de fêter ses 30 ans.

Sur scène, le garçon timide se déchaîne. Accompagné de quatre musiciens, Renan Luce chante, joue de la guitare et même du saxophone avec brio. Les filles ont souvent sa source d'inspiration. Il chante « qu'il préfère aux voisins ses voisines », « la fille de la bande » et les fans reprennent avec lui des paroles qu'ils connaissent par coeur.

De chansons en rappels

Ce sont près de deux heures de spectacle que Renan Luce a proposé au public de Créa. Après avoir affirmé, « on n'est pas à une bêtise près », la bande originale du film « Le Petit Nicolas » dont il est l'auteur, Renan Luce a terminé son show. Les spectateurs l'ont rappelé et il est revenu pour le plaisir de quelques chansons encore. Nouveau rappel du public qui a réclamé « La Lettre », un de ses premiers succès. Généreux, il est revenu et a conclu sur une reprise endiablée de la chanson de France Gall « Laisse tomber les filles ». Les filles, elles, n'avaient pas l'intention de le laisser tomber et elles l'ont attendu pour le bisou et la photo dédicacée.

Un bonheur n'arrive jamais seul. L'autre belle surprise de la soirée fut la prestation de son copain Benoît Dorémus, lequel a largement chauffé, seul en scène, une salle ravie de découvrir ce jeune chanteur à la fois tendre et énervé. Un auteur qui distille, accompagné de sa guitare, de petites tranches de vie très poétiques.
Auteur : Denise Roz.

Merci pour l'article !!